CONFERENCE DU 15 MARS 2000-3ème PARTIE

Question : L'avenir est déjà le présent. Et alors le libre arbitre de l'homme je ne sais pas où il se trouve ?

Danielle :
Dans les bêtises qu'il fait.
Donc je dirais oui l'avenir c'est le présent, « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » mais dans une échelle plus réduite au niveau de la vibration.

Il faut retrouver la qualité de la moralité intérieure, il faut retrouver les étapes de la liberté humaine.
Nous sommes un petit peu dans la boue et c'est dans cette boue que nous ramassons toutes les impuretés de la vie.

Le libre arbitre de l'homme....... c'est lui qui décide s'il prend le chemin des écoliers, s'il fait le petit chaperon rouge, s'il s'en va dans des chemins de traverse,
après tout il a le droit d'aller cueillir les pâquerettes au lieu de prendre l'autoroute qui va plus vite.
Mais sur les autoroutes il y a aussi des écueils.

Il faut donc dans le chemin de la vie rester toujours dans une grande simplicité et savoir écouter l'intérieur de son être.
Il faut vous dire : « Attention tu peux faire ça mais il y aura peut-être un petit problème à la clé. » etc.......
Mais tant pis pour le petit problème à la clé il faut le vivre en tant que tel, le résoudre et revenir sur le chemin.
Ce n'est pas un impératif que d'aller dans une droite ligne, c'est quelquefois plus simple.

Mais attention aussi à la droite ligne qui occulte peut-être les embûches.

Dans les embûches l'on acquiert de la résistance, l'on acquiert une volonté de sortir de l'embûche et c'est très riche.
Alors comme c'est très riche et que l'être humain a besoin de la richesse de ses embûches le parcours de chacun dans la ligne droite n'est jamais respecté.
C'est aussi la volonté de la création de mettre chacun face à des embûches de toutes sortes sur la Terre.
Les embûches sont propres à chacun, à la semence des expériences déjà effectuées.
Passez les barrières dans le bon sens de la vérité, et là vous avez gagné une petite marche.

La ligne droite est symbolique, elle ne sera jamais dans un vécu car c'est le meilleur moyen de se planter.
Il faut avoir des embûches, il faut avoir des épreuves, mais ce sera toujours dans le même schéma : on va du bas vers le haut, et quand on est en haut on descend en bas pour refaire un autre parcours suivant ses besoins d'évolution.


Danielle FLOCH


Suite sous dizaine

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